Actualités météo | Auvergne-Rhône-Alpes : un coup de chaud estival attendu en fin de semaine, jusqu’à 32°C vendredi
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Auvergne-Rhône-Alpes : un coup de chaud estival attendu en fin de semaine, jusqu’à 32°C vendredi

Publié par Météocity , le 17 sept. 2025 à 15:22

Alors que septembre nous avait jusqu’ici habitués à une certaine douceur automnale, la région Auvergne-Rhône-Alpes s’apprête à vivre un coup de chaud notable, avec des températures dignes d’un plein été. Vendredi 19 septembre, les thermomètres grimperont jusqu’à 32°C localement, soit des valeurs 7 à 9°C au-dessus des normales de saison.

Un homme tient un smartphone dans la main

Un flux de sud-ouest et un ciel dégagé

Ce pic de chaleur s’inscrit dans un contexte de conditions anticycloniques sur la moitié sud de la France, favorisant un afflux d’air chaud en provenance de la péninsule ibérique.

Résultat : un ciel souvent bien dégagé en Auvergne-Rhône-Alpes, quelques voiles nuageux inoffensifs, et des températures qui grimpent sensiblement.

Une hausse rapide et marquée des températures

  • Jeudi 18 septembre :
    La chaleur commence à s’installer mais reste modérée :
    • 29°C à Moulins et Aurillac
    • 28°C à Clermont-Ferrand, Saint-Étienne, Montélimar
    • 26°C à Lyon, Grenoble, Bourg-en-Bresse et Privas
    • 25°C à Roanne, Chambéry, Valence
    • 23°C à Le Puy-en-Velay
  • Vendredi 19 septembre :
    Le pic de chaleur se confirme avec des températures généralisées entre 28 et 32°C :
    • 32°C à Aurillac et Moulins, pointes les plus élevées
    • 30°C à Clermont-Ferrand, Lyon, Saint-Étienne, Valence
    • 29°C à Roanne, Privas, Montélimar et Le Puy
    • 28°C à Saint-Flour, Chambéry
    • 27°C à Grenoble, 25°C à Annecy
    • 22°C à l’est de l’Ardèche, dans les zones plus nuageuses

Des températures très au-dessus des normales

Dans certaines localités comme Aurillac ou Moulins, ces températures sont jusqu’à 9°C au-dessus des moyennes de saison. Le contraste avec les matinées encore fraîches est d’autant plus marqué, renforçant l’impression de chaleur.

Un phénomène qui tend à se répéter

Même si ces pics de chaleur en septembre ne sont pas inédits, leur fréquence augmente ces dernières années. Ils témoignent d’une tendance plus large liée au changement climatique, avec des étés prolongés et des pics tardifs plus fréquents et plus intenses.